populisme et religion

Bouddhisme extrémiste est une contradiction dans les termes.
Avec les temps dans certains pays l'on s'est retrouver avec un "bouddhisme d'état" pas forcément "populiste" mais nationaliste.
De plus au Tibet l'on a eu une théocratie mais pas à l'initiative du clergé bouddhique mais sous l'impulsion des Mongols si mes souvenirs sont bons.
Enfin pour revenir au cas Birman, la figure emblématique locale, Ashin Wiratu, qui d'ailleurs est maintenant sous le coup d'un mandat d'arrêt du gouvernement birman, Ashin Wiratu dans une interview avait reconnu qu'étant jeune il hésitait entre une carrière de moine ou de politicien. Visiblement il a choisit moine mais n'a pas su renoncé à la politique.

L'alliance du sabre et du goupillon peut être ? Comme en Europe ? Sans même être populiste, le Christianisme une fois qu'il cessa d'être persécuté, s'acoquina avec le pouvoir politique romain, a partir de Constantin, qui influença les décisions du concile de Nicée pour que la doctrine chrétien légitime son propre pouvoir.
Israël a des sont origine un rapport étroit entre le politique et le religieux.
L'Islam aussi.
Même si le Bouddha refusa une fonction politique, il était originaire d'une caste de militaires et de politiciens et après son illumination eu des relations avec les hommes politiques locaux.